Dans l’art de soigner, la lithothérapie est l'une des plus anciennes pratiques qui soit. Comme pour les plantes, on sait empiriquement que les pierres ont des effets sur l'homme. Dans les encyclopédies, les récits ou les poèmes les plus anciens, on retrouve déjà la trace de l’utilisation des pierres pour leurs vertus thérapeutiques. Les Egyptiens ajoutaient la lapis lazuli réduite en poudre aux traitements des fièvres, les Amérindiens utilisaient l’obsidienne pour se protéger des ondes négatives et au Moyen Âge, on utilisait l’Aigue marine en collier pour soigner les maux de dents. Notre sensibilité aux pierres s’explique notamment par le fait que nous sommes naturellement composés de minéraux comme le fer, le calcium, le cuivre, le magnésium ou encore le potassium. Comme tous les éléments de la nature et comme les hommes, les pierres sont faites d’atomes et d’électrons dont les interactions libèrent de l’énergie et se caractérisent par des phénomènes vibratoires ou électromagnétiques. Les minéraux possèdent donc une énergie, qui va entrer en résonnance avec notre organisme via les ondes vibratoires qu’ils émettent. Se crée alors un échange d’informations entre les ondes émises par les pierres et le champ électromagnétique de notre organisme. En fonction de sa composition, de sa couleur et de sa structure, chaque pierre dispose de vertus spécifiques susceptibles d’aider une partie de l’organisme à se réguler et à retrouver son équilibre fonctionnel.