Naturopathie
Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la naturopathie est « un ensemble de méthodes de soins visant à renforcer les défenses de l’organisme par des moyens considérés comme naturels et biologiques ».
La naturopathie s’appuie sur des notions de prévention, d’équilibre, d’unicité et d’entièreté de l’individu. En effet, sans jamais se substituer à la médecine allopathique et à ses traitements, la naturopathie la complète, en faisant appel à notre « médecin intérieur ». C’est une approche holistique, qui considère la personne dans son ensemble, sans jamais compartimenter les troubles, ni séparer le corps de l’émotionnel.
Le vitalisme est au cœur de la discipline. C’est le principe de l’existence d’une force vitale comme source des processus de régénération de l’organisme. La démarche en naturopathie s’attache à restaurer, relancer, consolider cette énergie vitale.
Le naturopathe respecte également le principe de causalisme, c’est-à-dire qu’il va rechercher pourquoi et comment le déséquilibre est survenu. On s’intéresse à la cause du trouble et pas essentiellement aux symptômes de celui-ci.
Un autre fondement important de la naturopathie est l’humorisme, qui était déjà enseigné par Hippocrate 400 ans avant JC. Les humeurs, ce sont l’ensemble des liquides du corps, qui représentent 80% de l’organisme et dans lesquels les cellules baignent : sang, lymphe, bile, liquide de l’interstitium. Elles constituent de fait un élément important du terrain. Pour Valentin Marchesseau, biologiste que l’on considère comme le père de la naturopathie en France, la maladie provient des déchets et résidus métaboliques qui encrassent nos humeurs. Cet encrassement est encore accentué par une diminution de capacité de nos émonctoires à éliminer les toxines, qui s’accumulent alors.
Rédigé par Enaëlle DESCHAMPS
La naturopathie s’appuie sur des notions de prévention, d’équilibre, d’unicité et d’entièreté de l’individu. En effet, sans jamais se substituer à la médecine allopathique et à ses traitements, la naturopathie la complète, en faisant appel à notre « médecin intérieur ». C’est une approche holistique, qui considère la personne dans son ensemble, sans jamais compartimenter les troubles, ni séparer le corps de l’émotionnel.
Le vitalisme est au cœur de la discipline. C’est le principe de l’existence d’une force vitale comme source des processus de régénération de l’organisme. La démarche en naturopathie s’attache à restaurer, relancer, consolider cette énergie vitale.
Le naturopathe respecte également le principe de causalisme, c’est-à-dire qu’il va rechercher pourquoi et comment le déséquilibre est survenu. On s’intéresse à la cause du trouble et pas essentiellement aux symptômes de celui-ci.
Un autre fondement important de la naturopathie est l’humorisme, qui était déjà enseigné par Hippocrate 400 ans avant JC. Les humeurs, ce sont l’ensemble des liquides du corps, qui représentent 80% de l’organisme et dans lesquels les cellules baignent : sang, lymphe, bile, liquide de l’interstitium. Elles constituent de fait un élément important du terrain. Pour Valentin Marchesseau, biologiste que l’on considère comme le père de la naturopathie en France, la maladie provient des déchets et résidus métaboliques qui encrassent nos humeurs. Cet encrassement est encore accentué par une diminution de capacité de nos émonctoires à éliminer les toxines, qui s’accumulent alors.
Rédigé par Enaëlle DESCHAMPS